puisque tout amour heureux doit avoir une fin... je ne suis plus avec nathanaël. pourquoi? c'est lui qui le sait. parfois, vaut mieux ne pas trop se poser de questions, quitte à se rendre malade ou à en devenir fou.
samedi 29 septembre 2007
dimanche 2 septembre 2007
comptine d'un soir d'automne
finalement, je trouve ça plutôt plaisant d'écrire sur ce blog... donc même si je ne suis plus en europe (pour le moment), je crois bien continuer à écrire régulièrement. j'en profite même pour changer le look parce que franchement, je suis pas une très grande fan du bleu, et j'en avais plus qu'assez du même design plate. donc voici du vert, couleur de l'espoir, mais surtout ma couleur préférée!
je crois que j'ai vraiment besoin de me remettre à écrire. les mots ne me viennent plus autant qu'avant, j'ai toujours de la misère à mettre mes phrases ensemble de façon congrue. remarquez, ça reflète probablement ce à quoi peut ressembler l'intérieur de ma tête, parsemée de bouts de vie parfois inutiles, ou tragiques, ou encore bidonnants.
tout ce que je sais, c'est que l'automne est à nos portes, ça se sent, ça se ressent. à chaque année, c'est la même rengaine. petite mireille devient extrêmement nostalgique, repassant les chansons qui l'ont marqué les années précédentes, sortant des boîtes poussièreuses ses feuilles orangées en plastique afin de les étendre un peu partout sur les meubles de sa chambre, s'enroulant dans une couverture de laine, et savourant à pleines papilles un thé à la cardamone. je suis si prévisible, c'en est presque risible. mais j'me complais dans cette petite routine annuelle, ça me permet de ne pas déprimer, alors que tout autour de moi s'éteint. c'est bien à l'automne qu'on se rend compte à quel point tout est éphémère. mais je pense à toi, et je suis bien.
je crois que j'ai vraiment besoin de me remettre à écrire. les mots ne me viennent plus autant qu'avant, j'ai toujours de la misère à mettre mes phrases ensemble de façon congrue. remarquez, ça reflète probablement ce à quoi peut ressembler l'intérieur de ma tête, parsemée de bouts de vie parfois inutiles, ou tragiques, ou encore bidonnants.
tout ce que je sais, c'est que l'automne est à nos portes, ça se sent, ça se ressent. à chaque année, c'est la même rengaine. petite mireille devient extrêmement nostalgique, repassant les chansons qui l'ont marqué les années précédentes, sortant des boîtes poussièreuses ses feuilles orangées en plastique afin de les étendre un peu partout sur les meubles de sa chambre, s'enroulant dans une couverture de laine, et savourant à pleines papilles un thé à la cardamone. je suis si prévisible, c'en est presque risible. mais j'me complais dans cette petite routine annuelle, ça me permet de ne pas déprimer, alors que tout autour de moi s'éteint. c'est bien à l'automne qu'on se rend compte à quel point tout est éphémère. mais je pense à toi, et je suis bien.
Publié par mireille à 22 h 39 0 commentaires
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